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taichi nice yangtse serpent - La vocation de Yang Tse Nice est de promouvoir et divulguer la Boxe du Serpent, véritable Tai Chi Chuan de la famille Yang. Yang Tse Lyon propose deux aspects de la pratique du Tai-Chi Chuan. D’une part, la pratique lente et décontractée en fait une discipline excellente pour la santé. Détente, vitalité, concentration, relaxation, souplesse, bien-être sont les qualités développées par le Tai-Chi Chuan de la Boxe du Serpent. D’autre part, la compréhension martiale donne un sens aux mouvements et rend la pratique captivante. La pratique, avec sa compréhension martiale, apporte la richesse des techniques et la base du Tuishou (appelé poussée de mains) et amène le développement de l'énergie interne (qualité d’écoute, développement de la perception).

Tai Chi Chuan à Nice

Yang Tse Nice propose des cours hebdomadaires de Tai Chi Chuan (ou Tai Ji Quan) de la famille Yang, la Boxe du Serpent, tout au long de l’année sur Nice et Colomars.

Cet enseignement traditionnel s’adresse à tous quels que soient l’âge et la condition physique. Il vise à installer une profonde détente et souplesse du corps, source de bonne santé et de vitalité.

Le Tai Chi Chuan au fil des jours

Au départ, on vient souvent au Tai Chi Chuan (Taiji Quan) tout comme on vient au Qi Gong ou au Yoga, dans l’optique d’améliorer la santé ou de la conserver, de “domestiquer” des nerfs à fleur de peau qui nous gâchent la vie, d’apprendre à relâcher nos tensions, d’atteindre et de développer enfin l’intelligence à la fois du cœur, du corps et de l’esprit… Parfois, on y vient même par le plus grand des hasards, si on peut toutefois imaginer que ce dernier existe.

Dans cet art martial méditatif traditionnel, à chaque nouvelle seconde de pratique, on construit autant qu’on déconstruit. On apprend et on désapprend, pour ainsi dire. Rien ne semble jamais assimilé et acquis en totalité. Se sentir un éternel débutant est un sentiment parfois assez déroutant et déstabilisant mais il fait partie du chemin.

Cela est sans doute le propre de tout art. Ici, il faut peu à peu acquérir autonomie et autodiscipline, accepter le changement et ne pas s’accrocher à ce qu’on pense avoir maîtrisé. Accepter aussi de se détacher pour pouvoir avancer. Accepter de stagner, de “perdre”, parfois, pour pouvoir mieux repartir. Sans cesse peaufiner le moindre geste, sans cesse maintenir l’attention intacte…

De nombreuses années de pratique de plus et ces défis seront toujours là, en dépit de l’expérience accumulée.  Curieusement peut-être, c’est aussi cela qui fait souvent qu’on continue à s’intéresser au Tai Chi Chuan, malgré les années qui passent.

Par une voie parfois assez détournée, on finit par appréhender une certaine idée du zen sans même s’en apercevoir.

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